Contactado pela e-Global, o Presidente Umaro Sissoco Embalo desmentiu categoricamente a informação. "Não fui alvo de qualquer tipo de tentativa de assassinato em Paris", garantiu o Presidente guineense.
France-Guinée-Bissau: Le président Embalo Sissoco a échappé à un assassinat à Paris, le 29 mai.
Qui en veut encore à ce point au président Embalo Sissoco pour le suivre jusqu’à Paris pour vouloir l’assassiner et pourquoi sur le sol français ?
Assassinat manque contre le président Embalo Sissoco de la Guinée-Bissau
Un journal français vient de publier un article dans ses encarts qui donne froid au dos sur un assassinat programmé et manqué contre le président Guinéen, S.E.M. Umaro Embalo lors d’un bref séjour médical à Paris.
Intitulé : « les pieds-nickelés de la filature »
Voici quelques extraits : « la scène est digne d’ « OSS 117 » : deux agents de la DGSE se sont fait pincer alors qu’ils filochaient le président de la Guinée-Bissau, en visite privée à Paris. Mieux, ce sont les flics français chargés de la protection du dirigeant africain durant son séjour qui ont démasqué nos espions.
Dans le compte rendu d’incident que : « le canard enchaîné » s’est procuré, les poulets du service de la protection (SDLP) racontent que, le 29 mai vers 8H15, au moment où le président Umaro Embalo Sissoco quittait son hôtel, ils repèrent : « un deux-roues » de couleur sombre, monté par deux individus casqués ; ce deux-roues met une attention particulière à rester le plus discret possible » ;
Armes à la main, les gorilles du SDLP finissent par stopper la moto. Le conducteur, penaud, leur tend alors une carte professionnelle du… ministère de la défense. La hiérarchie policière découvre vite que les deux filocheurs à moto travaillent à la DGSE. Bizarrement, le président de la Guinée-Bissau l’a mal pris. Et Macron, qui n’était pas au courant, a poussé une gueulante contre la DGSE.
Tous les agents ne sont pas du bureau des légendes » C.L.
Voici ce que dit le journal français. Dans cet article, le président français semble s’énerver, mais on ne nous dit pas, les sanctions qu’il a prises contre ces deux suspects, encore, si le président Embalo n’était pas du genre à garder son calme, tel que les choses se sont passées, il aurait mis sur le compte d’incident diplomatique.
Que faisaient des inconnus derrière le président Embalo?
Mais, qui est/sont derrière ce coup ? Pourquoi, c’est à Paris que la volonté s’est muée en acte pour vouloir tuer le président Embalo dont sa victoire a été inexorablement contestée par la France qui avait missionné ses médias à le salir, en le traitant de tous les noms ? La France semble ne pas digérer cette défaite cuisante contre le président Guinéen élu, qui échappe à son contrôle.
Au cours de ce séjour médical parisien du président Umaro Embalo, tenu secret jusqu’à son retour, ses opposants tendaient l’oreille du côté de Paris pour savourer leur victoire, en apprenant la mort du leur président. Mal, leur a appris de savoir que le président Embalo se porte bien et le mal, pour lequel, il s’est rendu à Paris, a été solutionné.
Jusqu’à quand, certains leaders africains, surtout ces opposants guinéens comprendront que le poste du président de la république, n’est pas un banc, mais un fauteuil et que celui qui l’occupe, a droit à un délai de 5 ans pour le remettre à compétition, encore que la Guinée-Bissau, revient de loin. Il faut que la France, quitte dans ces sales coups qui ne l’honorent pas. Toutefois, il faut féliciter les flics qui ont eu le flaire de démasquer ces filous.
Pour cette fois, la chance a souri au président Embalo qui ne doit pas dormir avec les deux yeux fermés, on ne sait jamais.
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